Avec les braquages et les attentats terroristes, nous nous organisons de manières différentes avec nos pécules et nos économies.
Il s’agit d’un constat où les reines et les rois du coffre-fort sous les vêtements préfèrent être assuré en banque et d’autres par contraire choisissent d’épargner à la maison. Ses processus divergent et les assurances rugissent de développement.
En ses jours de fête au Burkina, des jours des sociétés d’assurance l’écrit n’est pas à l’ouverture mais à l’assurance…
Comprendre ce changement de paradigme économique avec des sociétés financières islamiques qui amène une politique non usuraire et d’autre juste nominative.
Ce changement de paradigme économique engendre une réflexion sur le crédit et le crédit à la consommation.
Aujourd’hui la carte bleue en Europe est le premier pas vers l’ouverture d’un compte en Afrique de l’ouest, le pas est plutôt vers le crédit immobilier ou d’objets automobiles de consommations.
En problème sécuritaire les banques ont-ils encore un instinct de confiance ?
C’est à cette réponse que le déclic de la question d’ouverture sera un des choix aux offres bancaires.
En Europe le compte nickel a le vent en poupe selon Stiglitz en simple analogie, si les comptes Nickel s’absorbaient en Afrique de l’ouest certaines banques africaines auraient un changement climatique plutôt thermique ou glaciale.
De ce fait concluons en poème.
L’économie de nos fruits,
N’est pas le fruit du hasard,
Une réflexion active n’est pas attentive,
Il faudra se prendre de courage,
Pour ne pas finir hussard,
Les tenailles économiques sont plumage,
Alors n’oubliez pas l’épargne participative,
Pour motiver une économie compétitive,
A bonne économie je vous salue Jacky…
Docteur Jacky Bayili
Ecrivain : www.cultureetpartage.com
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