En France, la menace d’une dissolution du Parlement plane. En Thaïlande, Prayut Chan-O-Cha, le Premier ministre, a sauté le pas. Une décision attendue qui ouvre la voie à des élections législatives en mai.
Ce scrutin, le deuxième depuis le coup d’Etat de 2014, doit avoir lieu entre 45 et 60 jours après la dissolution. Il se tiendra probablement le 7 mai ou le 14 mai selon la presse locale. Le vote met aux prises l’impopulaire Prayut, arrivé au pouvoir à la faveur d’un putsch militaire, et la fille de l’ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, la bête noire de l’armée et qui, malgré un exil de plus de dix ans, continue d’animer la vie politique thaïlandaise.
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