Niant toujours toute implication dans la disparition de sa femme Delphine, Cédric Jubillar pourrait être mis devant ses contradictions. L'analyse de la couette, qui est toujours en cours, pourrait faire évoluer la version du jeune homme avant une seconde audition prévue en décembre.
L'enquête s'est accélérée ces dernières heures
Récemment, de nouveaux éléments de l'enquête ont fait émerger l'hypothèse selon laquelle Delphine Jubillar ne serait jamais sortie de chez elle le soir de sa disparition. Une nouvelle qui ne coïncide pas du tout avec ce que Cédric Jubillar avait déclaré. En effet, l'un des chiens de la gendarmerie, un Saint-Hubert au flair réputé, n'aurait ainsi jamais retrouvé sa piste en dehors de son domicile. Est-elle morte à l'intérieur de la maison ? C'est la piste privilégiée par les enquêteurs. Et pour trouver des preuves, ces derniers analysent tout.
Après les analyses infructueuses de l'eau de la machine à laver des Jubillar, c'est au tour de la couette d'être analysée. Si les premières vérifications se sont révélées infructueuses, on ne sait pas ce que donneront ses nouvelles analyses. Pour rappel, cette couette a passé plus de huit mois sous scellés dans la gendarmerie de Cagnac-les-Mines. Si elles permettent de révéler le moindre élément, l'enquête pourrait basculer. On attend désormais
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