Le monde d’aujourd’hui est un monde de surconsommation et d’exploitation intensive des ressources. C’est un système d’échanges et de communications entre les États dans lequel la mondialisation libérale dicte sa loi. Dans une optique de durabilité, une alternative plus viable et équitable doit être envisagée. L’altermondialisme peut-il être cette autre voie à emprunter ?