La rencontre entre Joe Biden et Vladimir Poutine révèle la volonté de contenir les tensions existantes entre les deux pays tout en posant les jalons diplomatiques qui s’imposent afin de se concentrer sur un autre objectif : la Chine.
Réunis en Angleterre depuis vendredi matin, les membres du G7 ont promis d’appuyer la campagne vaccinale des pays pauvres, en donnant un milliard de leur doses de vaccin anti-covid.
Il y a 1 an, jour pour jour, l’afro-américain George Floyd mourait, étouffé sous le genou d’un policier blanc de Minneapolis. Un an plus tard, le sujet est au cœur de la politique américaine, et une volonté de changer les choses se dégage.
Les affrontements qui ensanglantent le Proche-Orient mettent en évidence l’inertie des organisations internationales à résoudre une opposition profonde mais révèlent aussi l’existence de rivalités diplomatiques dignes de la Guerre Froide.
Le président Joe Biden a annoncé dans la nuit qu’il était favorable à la levée des brevets des vaccins, car ces derniers appartiennent au “bien commun.” Cette décision intervient alors que des pays comme l’Inde manquent cruellement de vaccins.
Lors d’un discours ovationné au Congrès, Joe Biden a présenté hier ses différentes réformes et projets pour le reste de sa présidence. Retour sur quelques-unes de ses mesures phares.
La reconnaissance par les Etats-Unis du génocide arménien exprime la volonté de la première puissance mondiale de jouer un rôle nouveau dans la diplomatie internationale. Mais, politique et symbolique, cette reconnaissance sera-t-elle suivie d’autres décisions aussi fortes à même de renforcer la crédibilité des Etats-Unis de l’ère Biden ?
Joe Biden va dévoiler, ce jeudi 22 avril, lors de son sommet virtuel sur le climat le nouvel objectif des États-Unis contre le réchauffement afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre d’entre 50 et 52 % d’ici 2030.