« Il ne se passe pas de jour sans que, en ouvrant son journal, on apprend qu’un homme, quelque part dans le monde, a été jeté en prison, torturé ou exécuté parce que ses opinions ou sa religion déplaisait à son gouvernement […] les lecteurs des journaux éprouvent un sentiment pénible d’impuissance. Mais si tous ceux qui sentent monter en eux l’indignation devant de telles nouvelles pouvaient se donner la main à travers le monde pour entreprendre une action commune, il serait possible sans doute d’obtenir un résultat positif ».